A première vue, occuper le poste d’aide-soignant peut sembler peu intéressant : dévalorisé, conditions compliquées, salaire modeste. Or, il s’agit d’une profession inestimable. Donc si vous pensez avoir la vocation, faites le pas.
Avoir le diplôme d’État d’aide-soignant (DEAS) est primordial pour pratiquer le métier. La validation d’une formation pratique et théorique d’une période de dix mois, six en tant que stagiaire, est utile pour l’obtention de votre diplôme. Toute personne ayant 17 ans au minimum, sans condition de diplôme, peut concourir. Par conséquent, vous pouvez obtenir des aides pour le paiement de votre formation. Le certificat d’État d’aide-soignant peut s’acquérir par le biais de la Validation des Acquis de l’Expérience ou VAE.
Un sentiment important pour un meilleur épanouissement dans son travail est de se sentir utile. L’aide-soignant se trouve au centre des métiers de l’aide à la personne : maillon essentiel dans le domaine de la santé. Collaborateur de l’infirmier, il participe pleinement à la continuité de la vie des patients ou bien des personnes âgées à sa charge. Un métier plein de sens !
Dire que très peu d’aide-soignant sont chômeurs n’est point indécent. Vu le grand nombre de futurs retraités et notamment le vieillissement de la population. Choisir cette formation de nos jours est promoteur !
• Des passerelles pour devenir auxiliaire de puériculture, aide médico-psychologique, auxiliaire de vie sociale ou ambulancier.
• Pour la formation continue, vous bénéficiez d’une formation d’assistante de soins en gérontologie
• Enfin, après 3 années vous entrez au concours d’infirmières sans passer par les tests d’admissibilité.
Aide-soignant un métier noble, plein de valeurs humaines, d’altruisme et d’humilité, soyez-en fier !